03 septembre 2019
À gauche, le téléscope ASTEP, à la station Concordia. © Lucie Maignan, Institut polaire français
Cette découverte, menée par une équipe d’astronomes dirigée par Anne-Marie Lagrange, chercheuse au CNRS, est le fruit de 10 ans de données de haute précision, obtenues avec l’instrument HARPS à l’Observatoire de La Silla de l’ESO, au Chili, pour détecter de manière indirecte la présence de β Pictoris c. Les données acquises depuis l’Antarctique avec le téléscope ASTEP, installé à Concordia, ont été importantes pour distinguer l’effet des pulsations de l’étoile et celles liées à la planète β Pictoris c.