07 juillet 2020
Dans le cadre du projet IPEV GMOStral-1028, soutenu par l’Institut polaire français, des chercheurs français et allemands ont détecté plusieurs groupes de contaminants organiques émergents dans la neige de surface de la station franco-italienne Concordia, sur le plateau continental Antarctique.
Ces résultats montrent entre autres que les activités humaines en Antarctique (tourisme, transport maritime et stations de recherche) ont des répercussions sur l’environnement immédiat.
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© Sylvain Guesnier – Institut polaire français